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Autour du lavage

Vaut-il mieux laver sa voiture à la main ou bien dans un lavage auto? Aral vous renseigne sur les erreurs les plus courantes lors du lavage automobile.

Installation de lavage
Laver sa voiture à la main est encore ce qu'il y a de mieux !
FAUX ! Rien que pour obtenir une efficacité comparable à celle de l'entretien rapide SuperWash, il vous faudrait l'équivalent d'une vingtaine de seaux d'eau de dix litres en lavage manuel (200L). Sans compter la peine ! Les brosses de lavage spécialement conçues pour Aral sont non seulement antibactérielles et antistatiques mais également super-rapides et super-méticuleuses. Leur vitesse de rotation élevée permet d'enlever efficacement les particules de saleté, sans "effet de traînées".  Aucun nettoyage manuel ne leur arrive à la cheville !
 
FAUX ! Même l'entretien manuel le plus attentionné, à la fameuse peau de chamois, laisse de microscopiques traces visibles sur la peinture. De plus, la peinture vieillit encore plus intensément sous l'influence des intempéries, à l'instar de la peau qui ride. Un bon entretien permettant de contrecarrer ce phénomène, le nettoyage régulier devrait donc être complété par un entretien ciblé de la peinture. D'où l'intérêt d'un traitement régulier avec soin protecteur brillant Aral SuperWash: Il colmate les pores de la peinture avec une cire brillante haut de gamme, lustre la surface et redonne un coup de fraîcheur à la peinture matifiée par l'âge.

FAUX ! Le véhicule est séché beaucoup plus vigoureusement à l'air chaud dans une installation de lavage Aral qu'ailleurs. Néanmoins la meilleure aire de lavage du monde ne peut empêcher que subsistent çà et là quelques gouttes d'eau sur la carrosserie.

 

Ce qu'il faut savoir: l'emploi de produits chimiques agressifs permettrait théoriquement de "perfectionner" le séchage. Aral préfère s'abstenir d'en utiliser vu qu'ils dégradent non seulement la peinture mais aussi l'environnement.

FAUX ! Contrairement à l'opinion répandue, les dégâts ne sont pas causés par la prétendue dureté des rouleaux de lavage, mais par des éléments qui s'accrochent dans les longues fibres souples des brosses de lavage et qui sont arrachés par la rotation.

 

Il est possible d'éviter ce genre de mésaventure en respectant les règles de base de l'entretien automatique: Rentrer l'antenne et démonter tous les éléments attenant au véhicule (porte-bagages, coffres à skis, rétroviseur supplémentaire pour tractage de caravane, etc.).

FAUX ! Lorsque l'entretien est régulier et l'encrassement superficiel, l'entretien rapide Aral SuperWash est une solution pratique pour le nettoyage intermittent. Mais un programme de lavage avec prélavage haute pression à la mousse active s'impose absolument si l'encrassement est important et tenace.

 

Et ceux qui souhaitent protéger durablement la peinture de leur véhicule ne manqueront pas de s'offrir de temps à autre un traitement à la cire brillante. Car finalement, ce ne sont pas seulement les températures hivernales négatives qui malmènent la peinture, mais également le rayonnement solaire intensif en été.

Celui qui prétend qu'il faut laver le dessous de caisse uniquement au début du printemps pour enlever les restes de sel épandu, se trompe lourdement. Un dessous de caisse encrassé, conjugué à l'agressivité des pluies acides, accélère l'avancée de la rouille, à tout moment, même en été !


Opter plus souvent pour un programme Aral SuperWash avec lavage du dessous de caisse permet de vous épargner des surprises désagréables !

FAUX ! Dans l'appréciation de l'éclat ce n’est pas la couleur mais la qualité de surface de la peinture du véhicule qui est décisive, autrement dit le taux de lumière réfléchie. A l'état propre, lavé, on a trouvé sur des véhicules tests, selon l'état de la peinture, des coefficients de brillance de 87 à 93% (sur des couleurs allant de blanc à rouge foncé). En cas de fort encrassement, la brillance pouvait tomber à 15%.

 

Le véhicule se fond dans son environnement et l'encrassement des chaussées fait que la "brillance" de la peinture diminue. Dans le domaine militaire, on exploite ce phénomène en recourant à des couleurs camouflantes mattes. Sur la route, cet effet peut cependant avoir des conséquences dévastatrices !

 

Ainsi, pour exemple, un véhicule encrassé roulant à 80 km/h peut prendre quatre secondes de plus à être vu que s'il était propre. Ou environ 90 mètres ! Et ceux-ci peuvent être les fameux mètres ou secondes qui entraîneront l'accident.